Les pouvoirs publics parviennent ils réellement à aider les pays en voie de développement ?

Aujourd'hui des millions de personnes dans le monde souffrent de faim et de malnutrition. Nourrir le monde devient un défis, celui de l'alimentation. Mais que font les pouvoirs publics, parviennent ils réellement à aider les pays en développement ? Dans un premier temps nous dirons en quoi les pouvoirs publics parviennent à aider les pays en voie de développement, en s'appuyant sur des exemples concret. Puis dans un second temps nous expliquerons en quoi les pouvoirs publics ne parviennent pas complètement aider les pays pauvres. Nous terminerons par une conclusion, dans laquelle la prise de position sur cette problématique sera abordée.

Nourrir le monde est un défis que seul nos pouvoirs publics peuvent relever. En effet les pays en voie de développement n'ont pas les moyens financiers et techniques pour sortir de cette crise alimentaire. Le droit à une alimentation adéquate est inscrit dans les textes internationaux. C'est un droit légiférer depuis 1948, d'après les site aide alimentaire.org. Les pouvoirs publics ont donc établis une loi, offrant une alimentation adéquate à tous. Ainsi les banques alimentaires mondiale sont là pour aider ceux qui souffrent de la faim. Ce sont des ressources alimentaires non négligeables approvisionnées par des donateurs tels que Nestlé, Yoplait, Bonduelle, … etc.

Les pouvoirs publics des pays riches se sont réunis récemment à Rome pour trouver des solutions afin d'éradiquer la faim dans le monde, en donnant la priorité à l'agriculture. D'après la FAO, organisation des Nations Unis pour l'agriculture et l'alimentation : « ensemble nous pouvons éradiquer la faim ». Cet objectif ne pourra se réaliser sans apports financiers de la part des pays riches, en effet d'après le site Le figaro la France double son aide alimentaire au pays pauvres. Cette aide servira à renforcer la sécurité alimentaire de ces pays. D'autres pays comme les Etats Unis propose une aide d'urgence à hauteur de 200 millions de dollars.

Le Programme Alimentaire Mondiale fait face également à cette crise puisqu'il est en déficit de 755 millions de dollars. Sans cette somme il ne pourra bientôt plus mener son action à bien dans les 78 pays. L' agence onusienne propose également une nouvelle initiative appelée : « les achats aux services du progrès ». Les aliments seront achetés sur les marchés locaux et serviront à nourrir ceux qui ont faim.

Toute ces actions permettent petit à petit de sortir ces pays de cette crise alimentaire sans précédente. En effet la faim est un grave problème dans les pays pauvres. Elle est à l'origine de problèmes de croissances, d'infections et autres maladies dues aux carences alimentaires.

Les réunions d'urgences de nos dirigeants montre la nécessité d'agir, en effet beaucoup d'organisation qu'elle soit française ou étrangères œuvrent au quotidien dans le monde pour lutter contre la faim. Mais toutes ces actions ne parviennent pas réellement à aider les pays pauvres. La crise financière ne fait qu'aggraver leurs situations, s'ajoute à cela le problèmes des biocarburants. Ceux ci sont en pleine expansion, ils provoquent l'envolée des prix des denrées alimentaires de base. Les biocarburants sont fait à base de maïs et enlève dons des tonnes de denrées qui pourraient être mis dans les bouches de ceux qui ont faim.

Nourrir la planète et respecter l'environnement est un compromis qu'il va falloir résoudre. De sommet en réunion politique, nos dirigeants tentent de trouver des solutions, mais sans pouvoir réellement les mettre en place. Bien sure il débloque des sommes considérables pour leurs venir en aide, mais c'est bien plus qu'une aide financière qu'il va falloir leurs apportés. Il faut doter ces pays de moyens et de techniques agricoles plus productives. Mais dans un pays comme l'Afrique où la sécheresse est omniprésente comment faire pousser des champs de maïs. L'urgence est là, dans le monde une personne meurt toutes les 6 secondes de faim ou de malnutrition. Soit 600 enfants toutes heures. Un chiffre non négligeable, pour lequel nous pays riches y remédier. Il y à bien le PAM ou encore la FAO qui distribue de l'aide alimentaire, mais pas en quantité suffisante. Ainsi 37 pays sont pris dans une crise alimentaire qui devient de plus en plus inquiétantes.

La problématique abordée dans cette synthèse soulève un gros problème, qui donnerait lieu à un long débat. Les pouvoirs publics par certaines actions concrètes aide ces pays, mais pas suffisamment. Les loi et les aides financières ne suffisent plus. L'envolée des prix des denrées alimentaires et la réduction des parcelles de terres des petits producteur ne font qu'aggraver leurs situations. A cela s'ajoute la montée en puissances des biocarburants. Sauver ou nourrir la planète, un compromis qui est bien difficile à régler.

Glénard Sophie